L’escalade est devenue une discipline olympique ça y est ! C’est à Tokyo en 2020 que ce sport impressionnant fera ses premiers pas. En attendant cette date, la curiosité nous pousse à en savoir plus sur l’organisation des épreuves futures.
Escalade : un sport synonyme d’adrénaline
L’escalade mérite son statut de discipline olympique. Activité stimulant à la fois le corps et l’esprit, elle fait maintenant partie comme le skateboard par exemple, des nouvelles activités que nous pourrons voir sur nos écrans lors des prochains Jeux Olympiques d’été. De quoi vibrer donc devant ces araignées humaines tout de même équipées d’une accroche antichute. Direction Tokyo pour la fédération internationale d’escalade mais avant cela plusieurs questions restent en suspens.
Des facteurs à prendre en compte pour organiser les épreuves
Tout d’abord comment intégrer l’escalade dans la compétition ? Sous quel format organiser la discipline ? Pour pouvoir répondre à ces questions il faut d’abord savoir que le Comité International Olympique (CIO) n’accordera que deux médailles d’or pour ce sport : une pour les femmes et une pour les hommes. En tout il n’y aura également que 40 participants avec une répartition équilibrée entre les deux sexes.
Nous pourrons donc être spectateur d’épreuves combinant à la fois le niveau de difficulté, la vitesse et le bloc. Dans les détails, les sélectionné(e)s participeront à trois étapes qualificatives avec deux runs puis quatre blocs et une voie à vue. Les phases finales auront ensuite lieu pour ces trois disciplines en une journée. Pour celles-ci il n’y aura déjà plus que six hommes et six femmes.
Que cela soit après les qualifications comme après les phases finales, les résultats découlent de la multiplication des classements de chaque épreuve. Sachant que le sportif ayant le total le plus petit sera en tête. Les grimpeurs français sont donc maintenant prévenus !